La pose d’un implant dentaire suscite de nombreuses questions auprès des patients. Parmi elles, l’on retrouve fréquemment la préoccupation liée à la place de la douleur dans l’acte. Plus de détails ici sur les peines éventuelles liées à l’opération.
La pose dentaire : une intervention qui se prépare
La psychose qui s’est installée autour du sujet de la pose d’implant est surtout le résultat de mauvaises expériences. Le premier point d’échec de cette procédure est un défaut de préparation. En d’autres termes, la douleur que ressentent les patients est surtout morale. Pour y remédier, il est impératif de faire une bonne préparation mentale. En procédant ainsi, la pose d’un implant dentaire a plus de chances de se passer sans douleur.
C’est également dans le but de préparer le corps à l’intervention qu’il est nécessaire de faire une préparation médicale. Il est question de bilans à effectuer afin de maîtriser le statut chirurgical du patient. Cette étape anodine permet de savoir approximativement la sensibilité à la douleur du patient. L’équipe d’intervention pourra alors définir s’il faut prévoir des mesures supplémentaires d’anesthésie.
L’usage d’anesthésie pour inhiber les sens
La pose d’un implant dentaire est un acte chirurgical dans tous les sens du terme. À ce titre, il est prévu que le patient soit anesthésié. Généralement, il s’agit d’une inhibition locale des capacités sensorielles. Uniquement, la gencive est insensibilisée pour perforer et procéder à la pose. La dose d’anesthésie est fonction de la sensibilité et du poids du patient, sans omettre la durée de l’intervention.
Au besoin, un sédatif peut être administré pour endormir partiellement le patient. C’est une disposition prévue pour les personnes anxieuses ou qui ont la phobie des instruments de soins et des blocs opératoires. Toutes ces précautions sont prises pour assurer que l’opération soit totalement indolore.
Un traitement postopératoire pour soulager
Au terme de la pose, il est prévu que la zone incisée soit endolorie. Des mesures sont prises pour anticiper sur cet état de choses. Les analgésiques et les anti-inflammatoires constituent le traitement programmé pour faire passer la douleur. Administrés dès le réveil, les résultats se font sentir dès les 5 premières minutes qui suivent la prise.
Par-dessus le traitement médicamenteux, le suivi postopératoire a pour but d’éviter toute douleur après la pose. En cela, les conseils de l’équipe médicale sont précieux pour éviter de brusquer la gencive et de provoquer un malaise.
En somme, la pose d’un implant dentaire est un processus bien organisé pour anticiper et venir à bout de la moindre souffrance.